Persistance rétienne
1- La persistance rétinienne est la capacité de l'oeil à conserver une image superposée aux images que l'on est en train de voir. Elle est plus forte et plus longue si l'image observée est lumineuse. C'est dù en partie au temps de traitement biochimique du signal optique. On distingue 2 types de persistance rétinienne :
- La persistance positive, qui dure peu de temps, eviron 50 milliseconde. La couleur de l'image persiste, paupières fermées.
- La persistance négative, qui dure plus longtemps. Elle est due à une exposition proloongée, à une forte intensité lumineuse qui a déterioré les batonnets. On garde ensuite imprimé une trace sombre de l'image dans la vison durant plusieurs secondes.
L'unité est " l'effet phi.".
2- Première photo : Après avoir regardé pendant 15 secondes le rond, nous avons pu constater que le rond se reproduisait dans le carré lorsque nous fixions le petit point du carré. Le rond reproduit était net et noir.
Deuxième photo : Après avoir regardé le rond coloré rouge pendant 15 secondes, il a été reproduit, lui aussi sur le carré. La couleur était moins net et plus clair que la couleur originale.
- La persistance positive, qui dure peu de temps, eviron 50 milliseconde. La couleur de l'image persiste, paupières fermées.
- La persistance négative, qui dure plus longtemps. Elle est due à une exposition proloongée, à une forte intensité lumineuse qui a déterioré les batonnets. On garde ensuite imprimé une trace sombre de l'image dans la vison durant plusieurs secondes.
L'unité est " l'effet phi.".
2- Première photo : Après avoir regardé pendant 15 secondes le rond, nous avons pu constater que le rond se reproduisait dans le carré lorsque nous fixions le petit point du carré. Le rond reproduit était net et noir.
Deuxième photo : Après avoir regardé le rond coloré rouge pendant 15 secondes, il a été reproduit, lui aussi sur le carré. La couleur était moins net et plus clair que la couleur originale.
PROTOCOLE
3- Tourner le bouton de fréquence jusqu'à ce que la lumière rouge se stabilise et ne clignote plus. Sa mesure sera de 6 à 34 Pr.
La résistance augmente ou diminue la fréquence.
La résistance augmente ou diminue la fréquence.
PELLICULE
4- La pellicule est un support souple recouvert d’un mélange de deux substances liquides non miscibles contenant des composés sensibles à la lumière, généralement à base d'halogénures d'argent.
Leur configuration détermine les caractéristiques du film comme la sensibilité et la définition.
ETYMOLOGIE : pelliculle «pelure (d'une pomme)» et Emprunté au latin pellicula «petite peau; pelure d'un fruit» (dimin. de pellis «peau»).
Leur configuration détermine les caractéristiques du film comme la sensibilité et la définition.
ETYMOLOGIE : pelliculle «pelure (d'une pomme)» et Emprunté au latin pellicula «petite peau; pelure d'un fruit» (dimin. de pellis «peau»).
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5- La pellicule est recouverte d'un mélange de 2 substances liquides non miscibles sensibles à la lumière.
Lorsque l'émulsion est soumise à une exposition à la lumière dans un appareil photographique, il se forme une image latente, invisible. Il faut pour obtenir une image visible procéder au développement, un procédé chimique en plusieurs phases.
Le support doit être résistant et souple à la fois, avec un faible coefficient d'élongation, une bonne résistance au vieillissement et une parfaite compatibilité avec l'émulsion.
Il reçoit, avant l'émulsion proprement dite une couche « anti-halo » qui évite une réflexion de la lumière lors de la prise de vue. Une fois l'émulsion déposée, une couche anti-rayures protège le tout.
Les pellicules actuelles ont un support de triacétate de cellulose pour les films en rouleaux ou en polyesterpour les plans-films épais d'environ 0,1 mm.
Lorsque l'émulsion est soumise à une exposition à la lumière dans un appareil photographique, il se forme une image latente, invisible. Il faut pour obtenir une image visible procéder au développement, un procédé chimique en plusieurs phases.
Le support doit être résistant et souple à la fois, avec un faible coefficient d'élongation, une bonne résistance au vieillissement et une parfaite compatibilité avec l'émulsion.
Il reçoit, avant l'émulsion proprement dite une couche « anti-halo » qui évite une réflexion de la lumière lors de la prise de vue. Une fois l'émulsion déposée, une couche anti-rayures protège le tout.
Les pellicules actuelles ont un support de triacétate de cellulose pour les films en rouleaux ou en polyesterpour les plans-films épais d'environ 0,1 mm.
FILM DE CINEMA
6- Fréquence des images : 1/24= 0.0416 Hz.
7- Entre 2 images, il y a du "noir" mais on ne le voit pas. L'obturateur passe non seulement entre les images, mais aussi une fois sur l’image elle-même.
8- C’est à partir d’environ 50 images par seconde que notre œil cesse de percevoir le scintillement de l’alternance de la lumière et du noir et voit plutôt la projection comme une lumière continue.
9- On a longtemps invoqué un phénomène appelé « persistance rétinienne » pour expliquer l’arrêt du scintillement des images fixes autour de 50 images par seconde. On a même écrit pendant des décennies dans les traités sur le cinéma que ce phénomène était également à l’origine de l’illusion du mouvement que l’on expérimente sur le grand écran. Mais il semblerait que la vértibale explication soit tout autre...
10- L'ffet "béta" peut créer l'illusion d'un mouvement qui se rapproche ou s'éloigne des spectateurs. On voit que l'effet béta est non seulement à la base de l'illusion du mouvement de tout type de cinéma, mais qu'il est aussi à la base de nombreux supterfuges graphiques dans le cinéma d'animations.
11- Le thaumatrope est un jeu optique qui exploite le phénomène de la persistance rétinienne. C'est un dessin qui est fait sur chaque page d'un livret que l'on effeuille reproduisant un mouvement continu.
Le folioscope ou feuilletoscope ou flip book est un livre de dessins animés ou de photogrammes cinématographique qui feuilleté rapidement, permet la synthèse du mouvement par la persistance rétienniene et l'effet phi. C'est un des jouets optiques qui ont précédés et accompagnés l'invention du cinéma. On peut aisément créer un folioscope en dessinant une séquence animée sur chacune des feuilles d'un cahier.
7- Entre 2 images, il y a du "noir" mais on ne le voit pas. L'obturateur passe non seulement entre les images, mais aussi une fois sur l’image elle-même.
8- C’est à partir d’environ 50 images par seconde que notre œil cesse de percevoir le scintillement de l’alternance de la lumière et du noir et voit plutôt la projection comme une lumière continue.
9- On a longtemps invoqué un phénomène appelé « persistance rétinienne » pour expliquer l’arrêt du scintillement des images fixes autour de 50 images par seconde. On a même écrit pendant des décennies dans les traités sur le cinéma que ce phénomène était également à l’origine de l’illusion du mouvement que l’on expérimente sur le grand écran. Mais il semblerait que la vértibale explication soit tout autre...
10- L'ffet "béta" peut créer l'illusion d'un mouvement qui se rapproche ou s'éloigne des spectateurs. On voit que l'effet béta est non seulement à la base de l'illusion du mouvement de tout type de cinéma, mais qu'il est aussi à la base de nombreux supterfuges graphiques dans le cinéma d'animations.
11- Le thaumatrope est un jeu optique qui exploite le phénomène de la persistance rétinienne. C'est un dessin qui est fait sur chaque page d'un livret que l'on effeuille reproduisant un mouvement continu.
Le folioscope ou feuilletoscope ou flip book est un livre de dessins animés ou de photogrammes cinématographique qui feuilleté rapidement, permet la synthèse du mouvement par la persistance rétienniene et l'effet phi. C'est un des jouets optiques qui ont précédés et accompagnés l'invention du cinéma. On peut aisément créer un folioscope en dessinant une séquence animée sur chacune des feuilles d'un cahier.